Je me suis rendu ce Vendredi 26 octobre 2007 au Salon des Vieux Papiers à l'Espace Champerret à PARIS 17ème.

Tout comme l'année dernière, j'y ai pratiquement passé tout l'après midi pour rechercher des CPA de BRUYÈRES.

C'est une activité passionnante qui tient en haleine, que de rechercher des cartes postales, car je suis pressé de trouver des cartes que je n'aurais pas encore.

J'ai été comblé, c'est une trentaine de CPA que j'ai pu acheter, CPA que je viens de m'empresser à ajouter sur l'album "cpa bruyères" (Depuis la publication de cet article, j'ai classé mes CPA par thème)

Les deux cartes postales anciennes ci dessous me rappellent ma jeunesse.

La montagne du Château est en fait une propriété privée sur laquelle se dressent les ruines du Château, à côté de ces ruines il y a une chapelle bien visible entre autre depuis l'Avison, puis une maison en contrebas.

Cette propriété privée est clôturée mais j'ai eu le privilège dans ma jeunesse de pouvoir y pénétrer. Ceci grâce à mon oncle Michel qui avait l'accord des propriétaires pour aller faire les foins sur les flancs de la colline du château pendant l'été.
Il m'emmenait avec lui le matin alors qu'il allait coupé l'herbe fraiche avec sa faux et à cette occasion il me faisait découvrir l'intérieur de la propriété que vous pouvez voir sur les deux CPA ci dessus.

Le soir, nous y retournions avec le râteau et le cendrier, toile de jute coupée au carré qui servait à ramener le foin sur le dos.

Avoir un oncle qui avait le privilège d'avoir la clé et de pouvoir entrer dans la propriété du Château était pour moi une source de satisfaction pour ma curiosité.

J'avais vraiment le sentiment d'avoir la chance de découvrir BRUYÈRES sous un angle différent. Chance que n'avaient pas tous les autres jeunes de mon âge à l'époque.

La Cabée, cette appellation me laisse perplexe. J'ai regardé à deux fois, qu'il s'agissait bien d'une CPA de BRUYERES avant de l'acheter, car j'avoue que je ne connais pas cette appellation.

J'ai cependant bien une idée, mais je n'en suis pas certain. De mémoire, je serais bien tenté de dire que cette maison n'est autre que la propriété qu'il y a sur la montagne du Château. Je vais rechercher dans les livres que je possède sur BRUYERES.

Si toutefois, amis visiteurs, vous en savez plus au sujet de la Cabée, je vous remercie de m'en faire part en ajoutant un commentaire à cet article. (Pour ce faire, cliquer d'abord en fin d'article sur "Voir les commentaires" afin de pouvoir en ajouter un)

La Cabée, j'ai maintenant la réponse grâce à la gentillesse d'un visiteur qui vient d'ajouter deux commentaires dés le lendemain de la publication de l'article. Je vous invite à lire ces commentaires en cliquant en bas de la page de cet article sur "Voir les commentaires".
 

Quand je pense que j'ai hésité quelques instants à acheter cette carte postale, aujourd'hui je ne le regrette pas. Cette CPA m'a permis d'enrichir mes connaissances sur ma ville natale en écrivant cet article.

J'ai volontairement ajouté la photo ci dessus, qui figure par ailleurs dans l'article "BRUYÈRES, l'ivresse de l'Avison" car elle permet de bien voir la Chapelle de la Montagne du Château, et la Cabée, maison aux toits gris foncé qui se situe derrière le clocher de l'Eglise, à flanc de colline du Château.

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Ce lundi 27 août 2007, il faisait un temps superbe à BRUYÈRES. Il n'en fallu pas plus pour me décider à tester mon nouveau zoom 70-200 mm sur mon D200.

Equipé de mon matériel, y compris monopode, je partis à l'assaut de l'Avison si je puis dire.

Après avoir garé ma voiture au pied de l'Avison, je pris le chemin circulaire qui monte au Mirador. C'est alors qu'inconsciemment je parcourus ce chemin à toute vitesse, tant j'étais pressé d'arriver au sommet du Mirador. Une véritable forme d'ivresse.

Enfin arrivé, je constatai que les conditions de prise de vue étaient idéales en clarté, netteté et contraste. Il était neuf heures du matin, le soleil était encore bas, donc pas de lumière écrasante.

C'est alors que je dus patienter avant de pouvoir faire des photos pour plusieurs raisons :
- Je ne voyais soudainement plus rien à travers mes lunettes couvertes de buée,
- Bien que j'utilisais un monopode qui permet de stabiliser le boîtier équipé d'une longue focale, j'avais l'impression de trembler comme une feuille.
- Je n'étais pas seul. Sans doute attirées par la transpiration un nuage de fourmis volantes tournant autour de moi, m'empêchait de faire toute prise de vue.

Bref, vous l'avez compris, j'avais voulu gagner dix bonnes minutes sur le temps de montée, mais je dus attendre pas loin d'une demi heure avant que tout rentre dans l'ordre.

Moralité, rien ne sert de courir ...

Ces photos prises depuis le sommet du Mirador vous sembleront avoir peut-être un air de déjà vu. Pourtant, chaque saison permet d'avoir des rendus différents, que ce soit en raison de la nature de l'éclairage naturel, de la présence et de la couleur du feuillage des arbres et arbustes, de la température qui s'accompagne de givre ou de neige lorsqu'il fait froid dans certaines conditions d'humidité.

Amis visiteurs, je vous invite à comparer les photos de cet article à celles de l'article "BRUYERES, givre et lumière" . Vous verrez que ces photos qui sont prises du même point de vue sont trés différentes.

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